Je m'excuse d'avance pour tout ceux qui ont du subir un épidurale, c'est vraiment pas le fun et il ne faut pas en rire (le cancer non plus mais bon, je commencerai pas à m'excuser pour tout franchement)
Voici un arcticle qui a paru dans une édition du prestigieux MotDit (journal étudiant) que j'ai eu l'honneur de composer. Encore une fois, les tortues de mer sympathisent...
-Chapitre Premier-
L'histoire se debute, telle l'épilogue d'un livre à succès, à l'intérieur de l'intestin grèle d'une baleine blanche. Les protagonistes étaient en train de se battre à mort avec des t-shirts du Newfoundland dans le but d'obtenir le bracelet d'immunité. Ils eurent alors la brillante idée d'utiliser des marteaux à air comprimé pour se sortir de là. Après quelques kilomètres de déchiquetage, ils se retrouvèrent sur une île déserte avec les anciens Star-Académitiens éliminés qui séchaientles chemises des l'archi-duchesse à qui mieux-mieux. Perdus dans la conception même de la vie et des ses complications, les protagonistes se sentirent spécialement conçus pour établir des protocoles fruitiers à travers le monde sans se dire que la fin du monde arrive à grands coups de pelle. Évidemment, une averse de nez éclata, nos amis eurent à trouver un abri en poivre de cayenne pour survivre au déluge nasal. Les indigènes de l'île les accueillirent avec amour et sincérité alors que leur descendance mourrait à petit feu avec des crayons de cire enfoncés directement dans leur orgeuil de mâle impotent. Faute de boules de viande avec de la sauce brune, les protagonistes eurent à s'enfuir avec un hélicoptère de l'armée qui trainaît dans les décombres de la cave interdite. Ils allèrent en direction du New Hampshire sans même se douter qu'une armée de fraises modifiées génétiquement les attendait avec des AK-47 et des grenades modifiées par des enfants de quatre et cinq ans sous l'effet d'une drogue qui remplace certaines des neurones du cerveau par des poches de thé et des paquebots portant des voitures japonaises jusqu'en Amérique.
-Chapitre Deuxième-
Au même moment, des robots géants japonais prenaient part à la plus grande guerre internationale à ne jamais avoir mis la main sur un journal datant de deux millénaires plus tôt, qui servait probablement d'isolation de fortune dans une maison de style Victorien. Les robots entamèrent donc leur repas mensuel de baignoires en fonte récupérées plutôt professionellement à l'aide de Photoshop et son meilleur ami, le pompier volontaire de la caserne de St-Jean-sur-Richelieu. C'est en fait à ce moment précis que le héros de cette histoire débarqua dans le paysage qu'un peintre était en train de calquer sur une paire de jeans avec de la peinture en cacanne. Il prit le plus d'air possible à l'intérieur des ses poumons faits de résine de synthèse, de peur qu'il en manque et fonca directement sur les gros robots qui ressemblaient étragement à des boites de conserves sans étiquette, de très loin. Ce fut une bataille épique comme on voit sur les emballages de Jos Louis qui dura 6 jours et autant de nuits. Bien évidemment, le héros gagna le pari qu'il avait pris avec un barman avant de s'aventurer dans ces péripéties, pari qui était de recycler 2 millions de tonnes de métal en casseroles et autres batterie de cuisine. Avec tous ces robots mis en ferraille, l'objectif s'est avéré presque facile. Il se fécilicita donc en s'offrant lui-même une rose aux épines empoisonnées et il mourut trois mois plus tard, en tombant dans les escaliers.
-Chapitre Troisième-
La manifestation funéraire du défunt héros fut si populaire que les poules eurent des dents et les vaches se sont mises à voler. Même Léonardo Dicaprio, ayant survécu à six cancers et trois épidurales était de la partie avec son foulard et sa casquette des expos. La foule rendit grâce à quelques joueurs de football qui mariaient leurs filles à des animaux de basse-cour et autres friandises sucrées alors que le héros revenait du royaume des morts avec des tasses et des t-shirts venant de la boutique de souvenirs. C'est alors que les touristes du début de l'histoire arrivèrent sur la plage où le rassemblement avait lieu sur des radeaux faits en poumons d'Africains gonflés. Ils étaient sans contredit fous de rage et débarquèrent tels les Américains lors du débarquement de Normandie. Ils n'avaient aucune pitié et déciderent de tuer tout ce qui bouge. Malheureusement pour eux, la foule avaient vu clair dans leur plan et ont décidé d'arreter de bouger, ils étaient bien baisés.Ils reprirent donc le large, l'air penaud, avec les dauphins et les algues sous-marines qui les suivèrent vingt pieds au-dessus de leurs têtes tels des anges gardiens.